

On n'est pas des trous-de-cul
En 1971 Gérald Godin et les édition Parti pris faisaient paraître On n’est pas des trous-de-cul de Marie Letellier. Succès immédiat, Jacques Ferron écrit à son propos : « On ne saurait passer sous silence le roman déguisé de Marie Letellier […] un livre qui plaira parce qu’il est d’ici et il l’est parce qu’il ne s’éloigne pas du champ de la parole. » Dans le Soleil, on le compare aux écrits de Major, Jasmin, Renaud et Tremblay en s’exclamant : « C’est à croire que le meilleur