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Montréal, ville dépressionniste


Lancement de Montréal, ville dépressionniste

Montréal serait une ville ouverte, diversifiée, créative et festive. Peut-être, mais nous ne sommes pas dupes. Montréal produit assez d’aberrations non seulement pour en faire un livre, mais également pour venir à bout du moral de ses citoyens. D’une démocratie qui fonctionne à coups de maires populistes, aux erreurs monumentales comme le défunt échangeur des Pins ou le viaduc Berri, en passant par la destruction de Griffintown et le nouveau Quartier des spectacles, Montréal est dépressionniste.

Rien ne manque à cette ville, pas même quelques pisse-vinaigres qui ont voulu profiter du 375e pour lui faire sa fête. Parler librement et dire quelque chose de significatif à propos de notre milieu de vie, voilà l’objectif aussi simple qu’exigeant de cet ouvrage collectif.

Une quinzaine de personnes participent à l’ouvrage, qui reprend l'énergie brute de Québec, ville dépressionniste : universitaires, punks, littéraires, militants, vulgaires profs de cégeps, chargés de cours grattant les fonds de tiroirs et autres vedettes inconnues de la microédition. Quelques-uns sont là depuis les débuts, les autres se sont greffés avec le temps.

Soyez des nôtres le 1er mars pour le lancement de Montréal, ville dépressionniste!

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